KODA, The Last Jazzman – ArtFX

Interview Akama Studio:
Petit studio devenu grand…

 

 

 

L’équipe technique d’Akama se compose comment ?

Le noyau dur d’Akama est bien évidemment constitué d’Alexandre et Cédric qui de part leur polyvalence peuvent assumer toutes les taches du studio, et ils sont bien sur très bien épaulés par une équipe de talentueux graphistes indépendants, récurrents et fidèles. Sans oublier notre chère assistante Emilie qui gère tout ce petit monde.

Le pipeline de production que vous avez dessiné est-il fixe ou est-il très souple en fonction des projets ?

Nous avons effectivement pour le moment une logique par projet. Notre pipeline s’adapte aux différents défis que nous propose chaque nouveau film. Ainsi, nous utilisons les solutions logicielles et techniques sur lesquelles, le talent de chaque graphiste intervenant sur la production est le plus efficace, le plus expérimenté; afin d’obtenir le meilleur de chacun pour le meilleur du film. Notre pipeline est donc surtout axe sur les hommes, mais il s articule tout de même autour de Maya et After Effects, et prochainement 3dsmax.

 


Quelles sont les principales difficultés que vous rencontrez, et vos solutions ?

Techniquement, les difficultés résident dans le choix de technologies à adopter pour créer tel ou tel film ou tel et tel effet, tout en gardant à l’esprit les contraintes de temps et de budget, et en essayant de les ajuster à notre exigence de qualité. Ce qui ne se fait pas sans frustration parfois, car malheureusement il n’y a que très peu de films publicitaire qui s’offrent l’ambition d’une grosse production, mais ceci relève plus du marché publicitaire en lui même, que des compétences des studios.

 

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