Virtuality 2017 : le salon en images

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Outre l’espace principal, un niveau inférieur était accessible.

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Là, on trouvait tout d’abord un espace de networking :

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Dans les deux ailes situées de chaque côté, d’autres stands : location de matériel, simulateur de golf, projets artistiques tels que Les Falaises de V, jeu vidéo en cours de production (Nevro Blues, chez Happy IP), mais aussi stands destinés au secteur médical, autre usage porteur de la réalité virtuelle.

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Bilan du salon

Lors de l’annonce du salon Virtuality, plusieurs questions se posaient : positionnement, viabilité du salon à moyen et long terme, concurrence par rapport à Laval Virtual.

Cette première édition semble avoir trouvé son public, au vu de la foule que nous avons croisée le vendredi. De quoi laisser penser qu’une seconde édition devrait voir le jour.
On regrettera tout de même quelques défauts de jeunesse, comme la difficulté de circulation à certaines heures, liée en partie à la configuration des lieux et au positionnement des stands.

D’autre part, de nombreux studios et agences avaient préparé des stand sans écran, donc ne permettant pas d’avoir une idée des contenus proposés avant d’enfiler le casque. Certes, la réalité virtuelle est par définition impossible à retranscrire sur écran classique, mais une showreel ou un aperçu permettent aux spectateurs de faire plus facilement le tri et de mieux cibler leur visite. Une problématique qui rejoint en partie notre article sur les bandes-annonce en VR et l’usage de vues à la troisième personne pour présenter un projet.
Bien entendu, ce défaut n’était pas généralisé, et de nombreux stands proposaient un affichage donnant une bonne idée de ce qui était proposé… Et donc de l’intérêt de faire ou non la queue.

Quoiqu’il en soit, les défauts ci-dessus sont à relativiser : il s’agissait d’une première édition, et ces inconvénients pourront facilement être corrigés par la suite.

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En ce qui concerne le positionnement, plusieurs constats. Tout d’abord, un certain nombre d’acteurs et entreprises du secteur de la réalité virtuelle déjà présents à Laval Virtual avaient fait le déplacement. Pour autant, les deux salons ne sont pas forcément en concurrence frontale. Virtuality proposait une forte proportion de stands d’agences et studios, ; Laval Virtual est sans doute un peu plus diversifié, avec notamment davantage d’entreprises de matériel et middleware, mais aussi tout un pan du salon centré sur la recherche et l’expérimental.

Pour le moment, donc, le positionnement distinct fait qu’une place est sans doute possible pour chaque évènement. Le timing très proche (Laval Virtual a lieu fin mars) pourrait toutefois avoir un impact sur l’affluence ; il sera intéressant de surveiller les chiffres de fréquentation de Laval Virtual 2017, mais aussi les évolutions de Virtuality en 2018. Nous aurons évidemment l’occasion de vous en reparler le moment venu.

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