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Plus loin, nous avons retrouvé quelques sociétés que nous vous avons déjà présentées, comme Sketchfab et son « Youtube de la 3D » (affichage modèles 3D temps réel avec WebGL). Le site va d’ailleurs subir une refonte dans les semaines à venir. S’il était trop tôt pour que la start-up puisse nous indiquer en détails les avancées prévues, l’aspect réseau social sera sans doute nettement amélioré. Forte d’une dizaine d’employés, Sketchfab se développe sur différents axes : récemment, des sites généralistes ou orientés « techno » ont fait appel à elle pour des contenus spécifiques, par exemple un modèle 3D temps réel du dernier iPhone. |
Pour la presse en ligne, il s’agit ici de se démarquer de la concurrence avec un côté ludique. Sur le même stand se trouvait Shapelize et ses services d’impression 3D en ligne, que nous vous avions déjà présentés lors de Dimension 3 2013. Ci-dessous, quelques exemples d’objets imprimés par leurs soins. |
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HypeCask a trouvé la solution pour se démarquer des dizaines d’imprimantes 3D du salon : la Delta Tower, un monstre pouvant imprimer des objets de 53 cm de haut, 33 cm de côté. La machine fait appel à un système de bobine à filament ; son prix le réserve toutefois à des applications professionnelles. |
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Pearl Diffusion, société de vente par correspondance d’équipements technologiques, s’intéresse elle aussi à l’impression 3D. Elle propose même sa propre machine, la 3D FreeSculpt EX1-Basic. La technologie employée est sans surprise la bobine à filament, bobines que Pearl propose également à la vente. Plus atypique, Pearl propose des packs comportant l’imprimante et des logiciels 3D : Trimodo 3D pour la modélisation, et TriScatch pour le scan 3D à partir de quelques clichés. Ce dernier logiciel a pour but de faire de la reproduction/modification à l’échelle 1 d’objets existants : une mire placée sous l’objet photographié assure d’ailleurs que les dimensions respectent les limites de la machine.
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Expositions Le 3D Printshow était également l’occasion de découvrir des expositions d’artistes et sociétés. Gilles Azzaro, qui se présente comme « Sculpteur de voix », était stratégiquement situé à l’entrée du salon. |
Il présentait une sculpture peu ordinaire : réalisée à partir d’un spectre vocal , elle était couplée à un capteur qui en mesurait les contours et la retranscrivait sous forme de son. Azzaro avait judicieusement choisi un extrait de discours d’Obama évoquant l’impression 3D comme prochaine révolution industrielle. La qualité du résultat est similaire à celle d’un disque vinyl. |
