Autodesk vient de lancer 3ds Max Indie et Maya Indie, des déclinaisons à prix cassé de ses logiciels.
Des prix cassés pour attirer de nouveaux clients
Le principe est le suivant : une nouvelle souscription proposée pour 250$/an, sous réserve que le client (artiste, studio) affiche un chiffre d’affaires de moins de 100 000 dollars annuels. L’offre est limitée à une licence par client.
Le tout donne accès à une version complète des produits, sans restriction.
Un programme pilote
Cette nouvelle offre est présenté comme limitée dans le temps (et est automatiquement renouvelée sous forme de licence à tarif plein si le client n’agit pas) mais aussi l’espace : pour l’heure, seuls les USA, le Royaume-Uni, le Canada, la Nouvelle-Zélande sont concernés.
Proposer cette offre dans d’autres pays est envisagé par Autodesk ; si elle vous intéresse, n’hésitez donc pas à montrer publiquement votre intérêt, que ce soit en commentaire, auprès de votre revendeur ou directement envers Autodesk.
6 commentaires
Plutôt un ajustement plus que tardif et mal taillé face à la concurrence. C’est un nouvel éclairage idoine qui pourrait permettre de tenter de comprendre la technocratie adsk. Tant que les actionnaires s’y retrouvent et que les clients ne sont pas trop perdus, si je puis dire, le flou non artistique est permis.
Il faut arreter de penser que Blender fait trembler la terre, le concurrent de Maya, c’est Houdini.
Version Inde, Bifrost, ce sont des reponses aux parts que Side Effect grignotte de plus en plus a Maya